L'agression écologiste
Le rapport des prétendus experts internationaux a mis aujourd’hui en émoi le microcosme des journaleux et des politicards de tous crins. L’aspect apocalyptique dont il peut faire l’objet permet aux premiers de se livrer à leurs élucubrations favorites, d’en rajouter une couche dans la description d’une fin de monde annoncée qui est l’occasion, à l’aide de lieux communs, de concepts mal assimilés, de faire valoir leur ego tout en courrant après un audimat qui reste le principal moteur de la presse. Quant aux seconds, ils ont là le moyen de détourner l’attention des électeurs des problèmes immédiats, d’assurer une image généreuse avec l’assurance d’une fiscalité librement consentie.
Ne nions pas la possibilité d’une situation grave qui mérite d’être prise en compte. Non, la critique porte avant tout sur l’hypocrisie des arguments et sur la pertinence de l’analyse.
Rien de ce que nous avons pu entendre tout au long de la journée de ces pseudos « spécialistes » ne fait preuve d’une véritable innovation de la pensée. Tous ces ayatollahs s’inscrivent résolument dans la ligne de la pensée convenue et, le plus souvent, font preuve d’un manque de sens critique dans les arguments avancés.
C’est que, dans notre monde réputé libéral, il n'est pas de bon ton de remettre en cause des choses telles que l ‘économie de marché, le mondialisme, l’idée officielle européaniste, la dette envers le tiers monde, l'appartenance à une certaine "gauche"… Ces concepts, et quelques autres, sont, plus que des postulats, des actes de foi qui ne peuvent en aucun cas être remis en cause. Fort de cette foi et avec l’arrogance du petit bourgeois, pareille à celle de la bourgeoisie de tous les temps, qui se considère comme l’élite, puisque détenteurs de l'argent et d'une certaine réussite, et donc possède la solution qu’il convient d’imposer aux béotiens, aux "untermenschen" que sont les gens de la plèbe...
Par une série de courts articles nous allons nous astreindre dans les prochains jours à battre en brèche cette pensée totalitariste. OUI, TOTALITARISTE. Certes, nous n’en sommes pas, nous n’en sommes pas encore, à un régime comparable à celui de l ‘Allemagne nazie ou à la réalité de l’URSS marxiste, mais dès lors qu’une partie de la population tente d’imposer une pensée unique, annexant au besoin des travaux scientifiques en guise de justification, et dans le but de prendre le pouvoir, la menace de dictature est imminente.
Il n’est que temps de redonner sa place à l’intelligence dans un débat qu’il faut ouvrir face à ceux qui pensent qu’il est clos, puisque leurs idées seules auraient force de loi.
Ne nions pas la possibilité d’une situation grave qui mérite d’être prise en compte. Non, la critique porte avant tout sur l’hypocrisie des arguments et sur la pertinence de l’analyse.
Rien de ce que nous avons pu entendre tout au long de la journée de ces pseudos « spécialistes » ne fait preuve d’une véritable innovation de la pensée. Tous ces ayatollahs s’inscrivent résolument dans la ligne de la pensée convenue et, le plus souvent, font preuve d’un manque de sens critique dans les arguments avancés.
C’est que, dans notre monde réputé libéral, il n'est pas de bon ton de remettre en cause des choses telles que l ‘économie de marché, le mondialisme, l’idée officielle européaniste, la dette envers le tiers monde, l'appartenance à une certaine "gauche"… Ces concepts, et quelques autres, sont, plus que des postulats, des actes de foi qui ne peuvent en aucun cas être remis en cause. Fort de cette foi et avec l’arrogance du petit bourgeois, pareille à celle de la bourgeoisie de tous les temps, qui se considère comme l’élite, puisque détenteurs de l'argent et d'une certaine réussite, et donc possède la solution qu’il convient d’imposer aux béotiens, aux "untermenschen" que sont les gens de la plèbe...
Par une série de courts articles nous allons nous astreindre dans les prochains jours à battre en brèche cette pensée totalitariste. OUI, TOTALITARISTE. Certes, nous n’en sommes pas, nous n’en sommes pas encore, à un régime comparable à celui de l ‘Allemagne nazie ou à la réalité de l’URSS marxiste, mais dès lors qu’une partie de la population tente d’imposer une pensée unique, annexant au besoin des travaux scientifiques en guise de justification, et dans le but de prendre le pouvoir, la menace de dictature est imminente.
Il n’est que temps de redonner sa place à l’intelligence dans un débat qu’il faut ouvrir face à ceux qui pensent qu’il est clos, puisque leurs idées seules auraient force de loi.